Undélicieux burger sauce au poivron et pecorino, des frites de butternut craquantes, une généreuse pizza à la ricotta et aux champignons ou encore des nuggets de poulet et moutarde au miel et au curry : voilà qui ravira votre adolescent et l’introduira à une cuisine saine et diversifiée ! Commentmotiver mon ado à faire ses devoirs? 8 pistes pour débloquer la motivation des ados. Poursuivre ses rêves. Se faire plaisir. Se faire confiance. Prendre conscience de ses forces. Développer l’autonomie d’apprentissage. Définir des objectifs. Adopter la “méthode des petits pas” Comment aider un adolescent à se concentrer? 5 conseils pour aider votre 8pistes pour débloquer la motivation des ados 1. Poursuivre ses rêves L’envie de faire ce que nous faisons au service de quelque chose qui nous dépasse et l’aspiration à se dépasser sur quelque chose qui compte sont des éléments clés de la motivation. L’échelle des rêves peut aider les adolescents à passer des rêves à la réalisation : 2. jai un garçon de 11 ans qui adore jouer. Il fait ses devoirs que sous ma pression et quand je lui parle et lui dit que son avenir en dépends, il fait la sourde oreille. je demande conseils aux mamans ou aux pères qui ont des enfants motives. Merci de m'aider et de me transmettre vos trucs et astuces Stagesde révision de Pâques: 5 cours de 02h00 sur une semaine voire 15 jours afin de revoir les notions essentielles du programme et ainsi éviter les baisses de niveau après les vacances. Nos 19 professeur(e)s sont à votre disposition du primaire au Bac+2. Cours Ado(micile) Sainte Maxime See more Aucontraire, votre ado est indépendant, il gère ses devoirs tout seul. Dans tous les cas, pour l’aider à progresser en cours de français en 5ème, prenez l’habitude de le suivre très régulièrement. En vous intéressant à son travail, en posant des questions sur les activités réalisées en classe, il se sent accompagné et cela amplifie son investissement personnel. . Rakuten groupicons / nav24 / chevron downQue cherchez-vous ?RechercherGeolocRechercher autour de moiFermerParcourir les catégoriesMenuicons / nav / sellMettre en venteVendreicons / nav / helpAideAideicons / nav / heartMes favorisFavorisicons / nav / accountSe connecterCompteicons / nav / cart43, 3s, -mo5494988, data_layer['oid="title"983009 1, 1, nkCo0t2B7">Rechercher autour de moi La Croix À partir de quel moment peut-on parler de difficultés scolaires ?Jeanne Siaud-Facchin J’aimerais rappeler que les difficultés font partie du parcours scolaire. Ce sont elles qui permettent d’activer des compétences. Si vous êtes sur un bateau par mer calme, vous allez rêvasser, bouquiner, mais ce n’est que lorsque le vent se lèvera que vous serez obligé de mobiliser vos ressources. Il en va de même pour un enfant à l’ ne parlera de difficultés qu’à partir du moment où celles-ci perdurent, au-delà de quelques mois ou d’une année, et qu’elles viennent pénaliser le rapport aux apprentissages, en entamant la confiance en soi de l’enfant et sa peuvent alors faire les parents ?Jeanne Siaud-Facchin Surtout ne pas accabler l’enfant. Ne pas le stigmatiser en lui disant si tu travaillais plus » ou si tu arrêtais de jouer aux jeux vidéo, tu réussirais mieux ». Il ne fait pas exprès d’échouer. Il est comme tout le monde, il a envie de réussir. Un enfant qui est en difficultés scolaire est d’abord un enfant en répéter que ses résultats scolaires sont inadmissibles ne fera que renforcer sa résistance à se remettre dans la dynamique des apprentissages. Réviser le cours dix fois avec l’illusion que la répétition va produire de meilleurs résultats est aussi l’aider, il est essentiel de comprendre d’où viennent ses difficultés. Les parents peuvent consulter les enseignants, dans une démarche constructive et bienveillante afin de savoir de quoi il a besoin, à ce stade de son histoire, pour que les choses s’améliorent. Rassurer l’enfant en restaurant la confiance dans les adultes comme personnes-ressources capables de l’aider est primordial. À partir du moment où il se sent compris et entendu, il exprime sa souffrance. N’oublions pas que les difficultés scolaires sont des difficultés tout court. Si celles-ci sont trop importantes, les parents peuvent aussi s’adresser à un sont les causes de l’échec scolaire ?Jeanne Siaud-Facchin Certainement pas la paresse. Il n’y a pas d’enfant paresseux. S’il ne veut pas travailler c’est d’abord pour éviter d’être confronté à ses difficultés et protéger son estime de il peut y avoir des dysfonctionnements au niveau cognitif, comme tous les troubles dys » la dyslexie, la dysorthographie, la dyscalculie ou encore la dyspraxie, un trouble de la coordination visuo-motrice. Il s’agit d’un mauvais ajustement entre ce que l’œil perçoit et l’ordre qui est donné au cerveau, et ce décalage provoque toutes sortes de maladresses. C’est un trouble très facile à rééduquer, mais il passe souvent inaperçu car l’enfant est vite catalogué comme un paresseux qui ne veut pas faire d’ difficultés scolaires peuvent aussi être liées au trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité TDAH, dont on parle beaucoup, qui a un impact sur les capacités de concentration de l’enfant. Ou encore à des retards de développement les enfants surdoués peuvent également rencontrer des difficultés atypiques ou paradoxales pendant leur parcours a-t-il aussi des causes psychologiques ?Jeanne Siaud-Facchin Oui, bien sûr. Des troubles psychologiques très simples, comme une fragilité de la confiance en soi, peuvent avoir une incidence directe sur les apprentissages. Non pas parce qu’il faut avoir confiance en soi pour réussir, selon le discours psy » classique, mais parce que le déficit de confiance rend très sensible au stress et que celui-ci a un effet physiologique sur notre mémoire de s’agit d’une petite entité au niveau des fonctions cognitives supérieures qui a pour mission de stocker temporairement ce qu’on entend, ce qu’on voit, puis d’analyser et d’associer ces informations à ce qui a déjà été appris avant de les envoyer dans la mémoire à long lorsque l’enfant est stressé, même s’il ne s’en rend pas toujours compte comme l’adulte, il va produire une quantité élevée de cortisol qui va venir occuper cet espace de traitement des informations et brouiller les pensées. C’est un peu comme avoir une chaîne de télé cryptée sans décodeur ! Malheureusement, on ne tient pas assez compte de ce phénomène physiologique. 24 Juil Comment motiver un ado pas motivé ? Combien de fois ai-je entendu il/elle n’est pas pour travailler… Il repousse indéfiniment ses devoirs; il fait tout à la dernière minute … Comment motivé un ado pas motivé ? Et si finalement, ils avaient raison ? Comment se motiver quand on ne sait pas bien pourquoi on travaille et surtout dans quel but ? Faire plaisir aux parents avec des bonnes notes pour pouvoir sortir ou aux profs pour être tranquille ? Comment mieux comprendre les leviers de motivation de vos enfants ? Il existe des centaines de livres sur la motivation ! Je ne vais pas tous vous les résumer mais simplement vous donner quelques clés sur la façon d’aborder la question de la motivation avec vos adolescents. Débutons avec ce qui ne fonctionne pas ? La carotte ou le bâton cette expression fait référence à l’âne qui a du mal à avancer sans motivation. Si vous lui montrez une carotte, il s’agit d’un signe de récompense, et si vous lui donnez un coup de bâton, il s’agit de le réprimander. Dans les deux cas, au final il va avancer. Nous savons tous que cette motivation peut fonctionner très ponctuellement à très court terme, mais sur le long terme, il est prouvé qu’elle est inefficace et très pesante pour les parents. La bienveillance extrême et la communication toujours positive Je sais que tu vas y arriver», Je te fais vraiment confiance», tu me rends fier»… en favorisant discours de motivation, d’optimisme, de positivisme. Le risque de cette méthode est de minimiser l’importance du travail, de l’engagement et finalement de le laisser dans sa zone de confort. Alors qu’est-ce qui fonctionne le mieux ? Peut être est-il nécessaire que vous, en tant que parents, changiez d’attitude envers vos enfants et leur rapport au travail. Tu ne travailles pas suffisamment ! ; je ne t’ai vu ouvrir un cahier aujourd’hui ; combien d’heures as-tu travaillé ? ; montre moi ton cahier de textes ; fais davantage d’exercices de maths … Bref, tous ces propos sont inutiles et inefficaces. La clé n’est pas d’essayer de motiver votre adolescent mais plutôt de faire quelque chose de différent pour essayer de le faire réagir. Le changement passera par vous ! Il est nécessaire d’être clair et d’exprimer les choses avec un objectif. Je vous conseille vivement un livre qui date de 2012 et reste très pertinent pour comprendre les leviers du changement. Switch. Comment changer les choses quand le changement est difficile » des frères Heath, professeurs à Stanford. Voici une lecture audio gratuite du livre Voici un résumé pour vous permettre de mieux comprendre le contenu Ayez en tête l’image d’un homme sur un éléphant si l’éléphant ne veut pas obéir, l’homme s’épuisera. Motiver un ado pas motivé ne s’improvise pas. Dirigez le conducteur Dans cette théorie, le conducteur est notre part rationnelle celle qui nous pousse à faire les choses. Il est nécessaire de fixer un objectif spécifique, mesurable et réalisable. Un objectif que votre ado peut atteindre par lui-même. Si vous lui demandez de n’obtenir que des notes au dessus de 12/20, cela ne fonctionne pas dans la mesure où il existe toujours une part subjective de notation due à l’enseignant. et votre ado n’a aucun pouvoir sur son professeur. Un meilleur objectif à lui proposer serait d’anticiper ses devoirs et de les faire à minima 24H avant la date du cours. Ainsi, cela ne dépend que de lui. C’est spécifique, mesurable et réalisable. Il s’agit d’une action prometteuse et qu’il est possible de reproduire à l’infini. Cela lui laisse aussi la possibilité de s’organiser. Motiver un ado pas motivé ne s’improvise pas. CONCLUSION Donnez une direction précise au conducteur avec un objectif clair, atteignable et ne dépendant que de lui. Motivez l’éléphant Dans cette théorie, l’éléphant est notre part émotionnelle celle qui nous freine à faire les choses. Nous pourrions aussi l’appeler notre part de paresse ou de rébellion si nous considérons la propension des ados à refuser ce qui provient de ses parents. L’intérêt est ici de se concentrer sur le solution mais pas sur le problème. Il s’agit donc de leur demander ce qu’ils veulent atteindre quel objectif te motiverait ? Qu’est ce qui ne te satisfait pas ? Où voudrais-tu t’améliorer ? Le ressenti est au coeur du questionnement et des solutions à trouver. Le but est de donner à l’éléphant une impression de progrès avec de petites victoires faciles à atteindre. Si l’objectif est trop important, il abandonnera. Misez donc sur la méthode des petits pas. Dans notre exemple précédent, la satisfaction d’avoir déjà fait ses devoirs en avance, de ne pas être stressé pousse à continuer à avancer et ne pas baisser les bras. Le plaisir et la fierté de faire ce qu’il faut donne de l’allant. Motiver un ado pas motivé ne s’improvise pas. CONCLUSION Ce qui passe pour de la paresse est parfois de l’épuisement procrastiner sans cesse est épuisant. Tracez le chemin Pour faciliter les nouvelles habitudes, il est important de se donner une voie à parcourir. Lorsque la situation change, le comportement change. Quand les bonnes habitudes sont en place, un bon comportement suit. Dans notre exemple précédent, votre ado doit peut-être changer quelque chose dans son organisation pour faire de la place aux devoirs anticipés comme poser son téléphone dans une autre pièce ou ne pas se mettre à jouer aux jeux vidéos donc décider de rester en étude ou à la bibliothèque chaque jour pour avancer sur les devoirs. CONCLUSION ce qui semble être un problème de personne est souvent un problème de contexte. Motiver un ado pas motivé ne s’improvise pas. Il n’y a plus qu’à ! Pas facile mais totalement possible … La folie c’est de faire toujours la même chose et d’espérer un résultat différent ! Motiver un ado pas motivé ne s’improvise pas. Nous abordons ce sujet dans notre atelier TEMPO Les aider à mieux s’organiser est donc un objectif particulièrement pertinent en ce début de deuxième trimestre. Organisation de quoi parle-t-on ? À l’instar de l’adaptabilité, la capacité d’organisation est un soft skill ou compétence transversale devenu incontournable dans un monde de plus en plus digitalisé, où les sollicitations via nos smartphones ne cessent jamais. Pour un élève, être organisé dans sa vie de tous les jours c’est être capable de répondre à ses obligations scolaires et familiales, tout en gardant un espace suffisant pour sa vie sociale et ses pensées intérieures. C’est donc aussi pouvoir prendre du recul, ne pas se laisser parasiter par l’inutile ou déborder par le quotidien afin de pouvoir se concentrer sur l’essentiel réussir et bien vivre sa scolarité ! L’organisation concerne aussi, et même en premier lieu, des choses très concrètes la façon de gérer son espace et son matériel de travail, ou le temps attribué aux différentes tâches à accomplir. Ce sont les principaux leviers sur lesquels agir au quotidien. Organiser son espace de travail Nous avons tous en tête des exemples de chambres d’adolescent dans lesquelles l’espace de travail disparaît sous des montagnes de vêtements, livres, objets en tous genres. Un contrôle de maths à préparer ? Il va d’abord falloir se lancer dans une véritable chasse au trésor pour retrouver son manuel et ses cours… C’est une évidence, le manque d’organisation spatiale et matérielle peut vite rendre les devoirs chronophages et ouvrir grand la porte à la procrastination, voire à la démotivation. En effet, comment avoir envie de faire ses devoirs s’il faut au préalable consacrer beaucoup de temps au rangement ou à la recherche de matériel ? C’est pourquoi il est primordial d’aider votre enfant à adopter avant tout de bonnes habitudes de rangement garder un espace de travail dégagé, où chaque chose a une place, et si possible avec peu de sources de distraction afin de favoriser la concentration. Ne pas avoir d’écran tentateur à proximité, couper les notifications du téléphone pendant le temps des devoirs… C’est souvent bien difficile pour les ados en particulier, mais bannir les distractions permet de travailler bien plus efficacement et plus vite. Planifier sa semaine Anticiper les échéances à venir évite de se retrouver submergé quand le rythme de travail s’intensifie et permet d’équilibrer idéalement son emploi du temps entre travail et loisirs. La promesse de consacrer moins de temps au premier et davantage aux seconds est un argument de poids pour les ados ! La solution est de construire un planning chaque semaine, qui intègre bien sûr les heures de cours et les activités extrascolaires mais aussi les devoirs, les révisions en vue des contrôles à venir et les temps de repos ou de sortie. Aidez votre enfant à prendre conscience du temps nécessaire pour effectuer les tâches les plus courantes et conseillez-lui d’alterner les matières en travaillant par brèves séquences. Ce mode de travail court et structuré, fait de phases d’apprentissage et de temps de repos, permet à la fois d’être efficace et de ne pas épuiser ses capacités de concentration. Et il est plus facile de se mettre à ses devoirs quand on sait à l’avance combien de temps ils vont durer rien de plus décourageant qu’une période de travail à durée indéterminée, qui va s’étirer mollement sans forcément beaucoup de résultats. Tester la matrice d’Eisenhower Cette méthode a été inspirée par une phrase qu’aurait prononcée Eisenhower, le 34e président des États-Unis Ce qui est important est rarement urgent et ce qui est urgent rarement important. » La matrice d’Eisenhower est un outil pour se fixer des priorités, qui se présente ainsi En voici le mode d’emploi La zone A correspond aux tâches urgentes et importantes à faire dans un délai court 5 jours au plus, par exemple les devoirs pour le surlendemain. Elle doit être aussi peu chargée que possible, pour pouvoir laisser de la place aux imprévus. La zone B correspond aux tâches importantes mais non urgentes la dissertation à rendre dans 15 jours, le dossier d’orientation à préparer pour la fin du mois, etc. Cette zone doit être le centre des préoccupations plus on anticipe en zone B, moins on agit dans l’urgence. La zone C concerne les tâches à accomplir rapidement mais dont l’importance n’est pas vitale. Ce sont en général celles dont votre enfant aimerait se passer ranger sa chambre, par exemple… Bonne nouvelle ! Il peut combiner une tâche A ou B avec une tâche C par exemple, écouter un cours audio d’anglais en faisant le ménage. La zone D contient tout ce qui peut être repoussé indéfiniment ou oublié sans conséquences, mais qui est souvent redoutablement tentant, comme aller sur un réseau social ou enchaîner les épisodes de la série du moment. Votre ado doit donc prendre l’habitude de se demander, surtout quand il est censé travailler, s’il n’est pas passé en zone D » depuis trop longtemps… Garder en tête la loi de Parkinson Connaissez-vous la loi de Parkinson ? Elle explique pourquoi il est tout à fait salutaire de se fixer à l’avance le temps le plus court possible pour chaque tâche… Cyril Northcote Parkinson a formulé la loi qui porte son nom dans les années 50, à la suite d’une observation de la fonction publique britannique. Selon son principe, le travail s’étale de façon à occuper le temps disponible pour son achèvement ». En clair, cela signifie que plus on a de temps pour faire quelque chose, plus ce quelque chose » prendra du temps. Par exemple, un élève qui n’a que six heures pour faire une dissertation y passera six heures alors que celui qui s’est octroyé tout un week-end la finira le dimanche soir – tard, probablement – et sans avoir rien fait d’autre. C’est pourquoi il est important d’estimer justement le temps nécessaire à l’accomplissement d’une tâche et de se fixer des limites assez courtes pour tout travail. Cette loi de Parkinson peut s’appliquer à tous les domaines de la vie et elle peut vous permettre, à vous aussi, parents, de gagner un temps précieux. En somme, savoir s’organiser n’est pas une compétence innée, mais bien un savoir-faire que l’on peut développer et améliorer tout au long de la vie, et qui nous permet d’être plus méthodique, plus efficace, de rester motivé et de mieux anticiper les échéances stressantes… de quoi réussir sa scolarité et s’épanouir dans sa vie professionnelle ! Nous partageons avec vous 2 vidéos issues de la chaine youtube Mine et Encre. Elles contiennent d’excellents conseils pour se motiver à faire ses devoirs. Nous les avons complétés. Choisir ou aménager un lieu tranquille dédié aux devoirs Eloigner les distractions Prendre des pauses pour maintenir la concentration Faire des feedbacks Cette deuxième vidéo explique comment bloquer les distractions si le travail doit être fait sur un ordinateur. Nous pouvons ajouter quelques conseils supplémentaires écrivez quelques lignes ou dessinez sur un cahier de brouillon pour activer les automatismes d’apprentissage pas plus de 5 minutes. C’est une façon de se jeter à l’eau en contournant les freins mentaux. prenez l’air avant de commencer votre période de travail. Cette oxygénation permettra de diminuer le stress. La marche en pleine nature ou dans un environnement naturel est idéal. une séance de méditation, sophrologie, yoga,… améliore la productivité car permet de calmer le mental tout en se recentrant voir cet article pour des séances commencez par les devoirs qui vous plaisent le moins fixez-vous un objectif d’heure de fin des devoirs buvez de l’eau la déshydratation est une source de stress et on ne se rend parfois pas compte que nous avons soif quelques recommandations relatives à l’écoute de la musique via Si vous devez apprendre coupez la musique L’apprentissage est ralenti par l’écoute de la musique car le cerveau , en plus des données à assimiler, doit écouter des informations sonores. Le processus d’acquisition est donc ralenti et, pire, peut être mal intégré par des associations bizarres entre les sons et les données. Et le phénomène est encore plus important avec des musiques qui comportent des paroles plus de confusion et concentration faible. dans un environnement bruyant écoutez de la musique Le bruit disperse l’attention et agit sur les sécrétions hormonales cortisol en hausse, dopamine en baisse et parasite la fonction exécutive. Se concentrer demande alors beaucoup plus d’énergie. Dans ce cas, écouter de la musique est profitable afin de s’isoler de la nuisance sonore, qui bloque le cortex préfrontal par l’assaut du stress. Relativement à l’item précédent, préférez de la musique instrumentale ou d’ambiance. pour un travail répétitif écoutez de la musique Pour des tâches répétitives, l’écoute de la musique aimée augmente la productivité. En effet, des neurotransmetteurs du bien-être sérotonine, noradrenaline, dopamine sont libérés. Cela fait baisser le stress tout en améliorant notre humeur. Nos performances augmentent alors. nouvelle musique stop L’effet nouveauté, bien qu’agréable, éveille la curiosité et nous surprend tout en nous éloignant des tâches plus laborieuses. La concentration sur le travail s’amoindrit et la productivité est donc en berne. Besoin de musique pour vous concentrer ? Ces 7 musiques facilitent l’apprentissage concentration, mémorisation, anti-stress

comment motiver un ado a faire ses devoirs