Unemaman Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs dans les jardins, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur la plage, Des milliers de poissons dans la mer Et seulement seulement Une maman. Partager Copie "Porte de Pâques Jésus est venu nous montrer comment Despoèmes pour la mère Les poèmes proposés ci-dessous sont facilement exploitables en création poétique. Une mère Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers de feuilles dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages s Quedans le monde entier ; Et bien plus de baisers. Pour ma mère, en mon coeur, Qu’on en pourrait donner. Maurice Carême. Pour imprimer ce poème, CLIQUEZ ICI. Poème 9 : Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Jesuis trop amoureuse Ton amour me rend tellement heureuse Je suis sur mon petit nuage Déjà entrain de rêvé de notre mariage Dans mes yeux brillent des milliers d'étoiles J'aimerai que jamais notre ciel se voile poème tu me manques court 4 Dans le ciel étoilé J'y ai vu un être émerveillé Il me regardait amoureusement Et moi je lui UneMaman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. André Bay 0 0 Partager 241 Poèmes de jour de mères 32 k views, 45 likes, 10 loves, 5 comments, 77 shares, Facebook Watch Videos from Rodin Montréal: [Poème dédié aux mamans - PARTAGEZ] Une maman Des 3,2 k views, 45 likes, 10 loves, 5 comments, 77 shares, Facebook Watch Videos from Rodin Montréal: [Poème dédié aux mamans - PARTAGEZ] Une maman Des milliers d'étoiles dans le . C'est une nuit d'été ; nuit dont les vastes ailes Font jaillir dans l'azur des milliers d'étincelles ; Qui, ravivant le ciel comme un miroir terni, Permet à l'oeil charmé d'en sonder l'infini ; Nuit où le firmament, dépouillé de nuages, De ce livre de feu rouvre toutes les pages ! Sur le dernier sommet des monts, d'où le regard Dans un trouble horizon se répand au hasard, Je m'assieds en silence, et laisse ma pensée Flotter comme une mer où la lune est bercée. L'harmonieux Ether, dans ses vagues d'azur, Enveloppe les monts d'un fluide plus pur ; Leurs contours qu'il éteint, leurs cimes qu'il efface, Semblent nager dans l'air et trembler dans l'espace, Comme on voit jusqu'au fond d'une mer en repos L'ombre de son rivage, onduler sous les flots ! Sous ce jour sans rayon, plus serein qu'une aurore, A l'oeil contemplatif la terre semble éclore ; Elle déroule au loin ses horizons divers Où se joua la main qui sculpta l'univers ! Là, semblable à la vague, une colline ondule, Là, le coteau poursuit le coteau qui recule, Et le vallon, voilé de verdoyants rideaux, Se creuse comme un lit pour l'ombre et pour les eaux ; Ici s'étend la plaine, où, comme sur la grève, La vague des épis s'abaisse et se relève ; Là, pareil au serpent dont les noeuds sont rompus, Le fleuve, renouant ses flots interrompus, Trace à son cours d'argent des méandres sans nombre, Se perd sous la colline et reparaît dans l'ombre Comme un nuage noir, les profondes forêts D'une tâche grisâtre ombragent les guérets, Et plus loin, où la plage en croissant se reploie, Où le regard confus dans les vapeurs se noie, Un golfe de la mer, d'îles entrecoupé, Des blancs reflets du ciel par la lune frappé, Comme un vaste miroir, brisé sur la poussière, Réfléchit dans l'obscur des fragments de lumière. Que le séjour de l'homme est divin, quand la nuit De la vie orageuse étouffe ainsi le bruit ! Ce sommeil qui d'en haut tombe avec la rosée Et ralentit le cours de la vie épuisée, Semble planer aussi sur tous les éléments, Et de tout ce qui vit calmer les battements ; Lin silence pieux s'étend sur la nature, Le fleuve a son éclat, mais n'a plus son murmure, Les chemins sont déserts, les chaumières sans voix, Nulle feuille ne tremble à la voûte des bois, Et la mer elle-même, expirant sur sa rive, Roule à peine à la plage une lame plaintive ; On dirait, en voyant ce monde sans échos, Où l'oreille jouit d'un magique repos, Où tout est majesté, crépuscule, silence, Et dont le regard seul atteste l'existence, Que l'on contemple en songe, à travers le passé, Le fantôme d'un monde où la vie a cessé ! Seulement, dans les troncs des pins aux larges cimes, Dont les groupes épars croissent sur ces abîmes, L'haleine de la nuit, qui se brise parfois, Répand de loin en loin d'harmonieuses voix, Comme pour attester, dans leur cime sonore, Que ce monde, assoupi, palpite et vit encore. Un monde est assoupi sous la voûte des cieux ? Mais dans la voûte même où s'élèvent mes yeux, Que de mondes nouveaux, que de soleils sans nombre, Trahis par leur splendeur, étincellent dans l'ombre ! Les signes épuisés s'usent à les compter, Et l'âme infatigable est lasse d'y monter ! Les siècles, accusant leur alphabet stérile, De ces astres sans fin n'ont nommé qu'un sur mille ; Que dis-je! Aux bords des cieux, ils n'ont vu qu'ondoyer Les mourantes lueurs de ce lointain foyer ; Là l'antique Orion des nuits perçant les voiles Dont Job a le premier nommé les sept étoiles ; Le navire fendant l'éther silencieux, Le bouvier dont le char se traîne dans les cieux, La lyre aux cordes d'or, le cygne aux blanches ailes, Le coursier qui du ciel tire des étincelles, La balance inclinant son bassin incertain, Les blonds cheveux livrés au souffle du matin, Le bélier, le taureau, l'aigle, le sagittaire, Tout ce que les pasteurs contemplaient sur la terre, Tout ce que les héros voulaient éterniser, Tout ce que les amants ont pu diviniser, Transporté dans le ciel par de touchants emblèmes, N'a pu donner des noms à ces brillants systèmes. Les cieux pour les mortels sont un livre entrouvert, Ligne à ligne à leurs yeux par la nature offert ; Chaque siècle avec peine en déchiffre une page, Et dit Ici finit ce magnifique ouvrage Mais sans cesse le doigt du céleste écrivain Tourne un feuillet de plus de ce livre divin, Et l'oeil voit, ébloui par ces brillants mystères, Etinceler sans fin de plus beaux caractères ! Que dis-je ? À chaque veille, un sage audacieux Dans l'espace sans bords s'ouvre de nouveaux cieux ; Depuis que le cristal qui rapproche les mondes Perce du vaste Ether les distances profondes, Et porte le regard dans l'infini perdu, Jusqu'où l'oeil du calcul recule confondu, Les cieux se sont ouverts comme une voûte sombre Qui laisse en se brisant évanouir son ombre ; Ses feux multipliés plus que l'atome errant Qu'éclaire du soleil un rayon transparent, Séparés ou groupés, par couches, par étages, En vagues, en écume, ont inondé ses plages, Si nombreux, si pressés, que notre oeil ébloui, Qui poursuit dans l'espace un astre évanoui, Voit cent fois dans le champ qu'embrasse sa paupière Des mondes circuler en torrents de poussière ! Plus loin sont ces lueurs que prirent nos aïeux Pour les gouttes du lait qui nourrissait les dieux ; Ils ne se trompaient pas ces perles de lumière, Qui de la nuit lointaine ont blanchi la carrière, Sont des astres futurs, des germes enflammés Que la main toujours pleine a pour les temps semés, Et que l'esprit de Dieu, sous ses ailes fécondes, De son ombre de feu couve au berceau des mondes. C'est de là que, prenant leur vol au jour écrit, Comme un aiglon nouveau qui s'échappe du nid, Ils commencent sans guide et décrivent sans trace L'ellipse radieuse au milieu de l'espace, Et vont, brisant du choc un astre à son déclin, Renouveler des cieux toujours à leur matin. Et l'homme cependant, cet insecte invisible, Rampant dans les sillons d'un globe imperceptible, Mesure de ces feux les grandeurs et les poids, Leur assigne leur place et leur route et leurs lois, Comme si, dans ses mains que le compas accable, Il roulait ces soleils comme des grains de sable ! Chaque atome de feu que dans l'immense éther Dans l'abîme des nuits l'oeil distrait voit flotter, Chaque étincelle errante aux bords de l'empyrée, Dont scintille en mourant la lueur azurée, Chaque tache de lait qui blanchit l'horizon, Chaque teinte du ciel qui n'a pas même un nom, Sont autant de soleils, rois d'autant de systèmes, Qui, de seconds soleils se couronnant eux-mêmes, Guident, en gravitant dans ces immensités, Cent planètes brûlant de leurs feux empruntés, Et tiennent dans l'éther chacune autant de place Que le soleil de l'homme en tournant en embrasse, Lui, sa lune et sa terre, et l'astre du matin, Et Saturne obscurci de son anneau lointain ! Oh ! que tes cieux sont grands! et que l'esprit de l'homme Plie et tombe de haut, mon Dieu! quand il te nomme ! Quand, descendant du dôme où s'égaraient. ses yeux, Atome, il se mesure à l'infini des cieux, Et que, de ta grandeur soupçonnant le prodige, Son regard s'éblouit, et qu'il se dit Que suis-je ? Oh ! que suis-je, Seigneur ! devant les cieux et toi ? De ton immensité le poids pèse sur moi, Il m'égale au néant, il m'efface, il m'accable, Et je m'estime moins qu'un de ces grains de sable, Car ce sable roulé par les flots inconstants, S'il a moins d'étendue, hélas ! a plus de temps ; Il remplira toujours son vide dans l'espace Lorsque je n'aurai plus ni nom, ni temps, ni place ; Son sort est devant toi moins triste que le mien, L'insensible néant ne sent pas qu'il n'est rien Il ne se ronge pas pour agrandir son être, Il ne veut ni monter, ni juger, ni connaître, D'un immense désir il n'est point agité ; Mort, il ne rêve pas une immortalité ! Il n'a pas cette horreur de mon âme oppressée, Car il ne porte pas le poids de ta pensée ! Hélas ! pourquoi si haut mes yeux ont-ils monté ? J'étais heureux en bas dans mon obscurité, Mon coin dans l'étendue et mon éclair de vie Me paraissaient un sort presque digne d'envie ; Je regardais d'en haut cette herbe; en comparant, Je méprisais l'insecte et je me trouvais grand ; Et maintenant, noyé dans l'abîme de l'être, Je doute qu'un regard du Dieu qui nous fit naître Puisse me démêler d'avec lui, vil, rampant, Si bas, si loin de lui, si voisin du néant ! Et je me laisse aller à ma douleur profonde, Comme une pierre au fond des abîmes de l'onde ; Et mon propre regard, comme honteux de soi, Avec un vil dédain se détourne de moi, Et je dis en moi-même à mon âme qui doute Va, ton sort ne vaut pas le coup d'oeil qu'il te coûte ! Et mes yeux desséchés retombent ici-bas, Et je vois le gazon qui fleurit sous mes pas, Et j'entends bourdonner sous l'herbe que je foule Ces flots d'êtres vivants que chaque sillon roule Atomes animés par le souffle divin, Chaque rayon du jour en élève sans fin, La minute suffit pour compléter leur être, Leurs tourbillons flottants retombent pour renaître, Le sable en est vivant, l'éther en est semé, Et l'air que je respire est lui-même animé ; Et d'où vient cette vie, et d'où peut-elle éclore, Si ce n'est du regard où s'allume l'aurore ? Qui ferait germer l'herbe et fleurir le gazon, Si ce regard divin n'y portait son rayon ? Cet oeil s'abaisse donc sur toute la nature, Il n'a donc ni mépris, ni faveur, ni mesure, Et devant l'infini pour qui tout est pareil, Il est donc aussi grand d'être homme que soleil ! Et je sens ce rayon m'échauffer de sa flamme, Et mon coeur se console, et je dis à mon âme Homme ou monde à ses pieds, tout est indifférent, Mais réjouissons-nous, car notre maître est grand ! Flottez, soleils des nuits, illuminez les sphères ; Bourdonnez sous votre herbe, insectes éphémères ; Rendons gloire là-haut, et dans nos profondeurs, Vous par votre néant, et vous par vos grandeurs, Et toi par ta pensée, homme ! grandeur suprême, Miroir qu'il a créé pour s'admirer lui-même, Echo que dans son oeuvre il a si loin jeté, Afin que son saint nom fût partout répété. Que cette humilité qui devant lui m'abaisse Soit un sublime hommage, et non une tristesse ; Et que sa volonté, trop haute pour nos yeux, Soit faite sur la terre, ainsi que dans les cieux ! Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs dans le jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur la plage, Des milliers de poissons dans les mers,Et seulement, seulement, Une maman à qui je fais des milliers de bisous Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. André Bay Fête des Mères Une Maman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. André BAY Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous T timoineau 28/05/2019 2302 j'espere que vous avez toutes profiter de votre journée et que vous avez été bien gaté Répondre C chantal lacour 27/05/2019 1531 bonjour joli ce texte pour les mamans . bisous . Répondre C Cmafalda 26/05/2019 2248 bonne fête a vous toutes ! pour moi un dimanche comme un autre , lol bises Répondre G gateuxrigolo 26/05/2019 1930 hello bonne fete a toutes bisous Répondre D dominique 26/05/2019 1636 merci pour ce joli poème ! bonne fête à toi et à toutes les mamans qui me liront ! bises Répondre L Laëtitia62_59 26/05/2019 1434 joli poeme bonne fete , bon dimanche Répondre M Très joli poème...ma maman est au ciel mais toujours dans mon coeur ...bonnes fête à toutes les mamans sur terre et dans les étoiles ... bonne journee Manou Répondre I Isaphanie 26/05/2019 1103 Très joli poême, bonne fête Manou, et bises. Répondre M MissParker 26/05/2019 1100 C'est bien vrai ; Bonne Fête des Mères à Toutes Beau dimanche ensoleillé, bises Répondre J bonne fête à toutes les mamans qu'elles soient honorées comme elles le mérite bisous janine Répondre B bonne fête a toutes les mamans jeunes et moins jeunes et a celles qui l ont été je l enverrai bien a quelques personnes ce poème bisous et belle journée le soleil a enfin chassé la brume je ne voyais plus la colline Répondre M eh oui à ceux ou celles qui oublient qu'ils ont une maman ! allez ne gâchons pas cette belle fête T Bonne fête Manou Bisous Répondre M merci Martine ! bonne fête également Y Bonjour, Merci pour ces souhaits et bonne fête. Répondre Expéditeur Conversation ROLLANDPOEME Envoyé le 16/3/2015 1856 Plume de platineInscrit le 24/1/2015De Envois 3257 UN FRAGMENT D'ETERNITEJe ne suis qu’un fragile fragment d’éternitéEnfanté dans le noir du ventre de l’ par une étoile, par sa lumière chauffé,Elle me protégeait du froid de la nuit polaire. Par secousses terrifiantes d’un grand chambardement Sur mon astre doré, au fil des millénaires,J’ai vu émerger les galaxies du néant,La naissance des planètes et du système par une météorite, mon étoileEclata, devint de la poussière d’éternité infinitésimal,Ainsi, je perdis mon hôtesse une dérive en centaines d’années-lumière,Protégé par la lune et son sourire séculaire,Par hasard, je tombai sur la planète Terre,J’appréciai surtout son eau et le fond des mers. Avec le soleil en complice et sa chaleurBienfaitrice, la fin programmée des ères glaciaires,Tout se transforme, apparaissent les arbres et les fleurs. La Terre proclamée paradis de l’Univers. Un simple souffle ! Un fragment de l’éternité !Nul ne connaît mes origines, pourtant je suis Dans chaque corps, j’ai fécondé l’humanité,Prenez grand soin de moi, vous m'appelez la Vie. Sympatique Envoyé le 16/3/2015 1901 Plume de diamantInscrit le 4/5/2014De Ailleurs ....Envois 12610 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE vous m'appelez la Vie.,,,,,,,,,,,,,,,,,et de l'esprit qui cherche sous ces plis bellement dit licorne40 Envoyé le 16/3/2015 1902 Plume de platineInscrit le 20/1/2015De Envois 3084 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEmerci Rolland pour ce magnifique poèmej'ai adorémes amitiés cristof75 Envoyé le 16/3/2015 1926 Mascotte d'OasisInscrit le 24/8/2010De parisEnvois 13424 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE SOLANE Envoyé le 16/3/2015 1937 Plume d'orInscrit le 27/2/2010De Face à la merEnvois 626 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEBonsoir Rolland,Laissez vous tenter par l’excellent livre des frères BOGDANOV ; la fin du hasardCe n’est pas de la science-fiction, mais un essai de vulgarisation scientifique, bien écrit et bien documenté. Si la vie s’est développée sur notre » planète ce n’est pas dû au hasard…il y avait tous les éléments pour qu’elle se développe, Voltaire disait L’Univers m’embarrasse et je ne puis songer que cette horloge existe et n’ait pas d’horloger »Votre écriture laisse planer un certain mystère...BravoSOLANE celia_m Envoyé le 16/3/2015 1947 Plume de platineInscrit le 21/1/2015De Québec CanadaEnvois 2075 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEMerci pour ce poème..magnifiquement beau..Amitiéscélia Tournesol Envoyé le 16/3/2015 1954 Plume de platineInscrit le 18/4/2008De RoumanieEnvois 5281 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITECeci est une merveilleuse vision poétique de ce qui aurait pu se passer au temps 0 de notre UNIVERS et de l'HUMANITE. Moults MERCIS pour ce poème '' autobiographique '' , Rolland. Quant aux légendes chinoises sur ce thème, en voici une, intitulée '' Pangu crée le monde ''IAvant que le Monde soit Monde, l’univers ressemblait à un grand oeuf où se mêlait le Ciel et la Terre, l’Obscurité et le Chaos. Pangu y dormait milles ans après notre géant se ouvrant les yeux, il ne rencontra que l’obscurité. La sensation d’étouffement et d’ennui qu’il éprouva le mit dans une colère terrible. Il ouvrit ses énormes mains, souleva ses bras colossaux et, de toutes ses forces, donna un énorme coup sur la paroi. Dans un bruit de tonnerre, l’oeuf se brisa en deux, et tous ses éléments, figés depuis des milliers et des milliers d’années, se répandirent en tous l’agitation qui suivit, les éléments légers et transparents s’élevèrent doucement et se dispersèrent peu à peu pour former le Ciel, tandis que les éléments lourds et gluants descendirent et se déposèrent pour former la Terre. Debout entre le Ciel et la Terre, Pangu poussa un long soupir de soulagement et se sentit beaucoup plus à l’ Ciel et la Terre étaient séparés. Mais, craignant qu’ils se réunissent à nouveau, Pangu leva les bras pour soutenir le Ciel qui lui pesait sur la Ciel et la Terre grandirent à raison de trois mètres par jour, au même rythme que milles ans s’écoulèrent encore. Le Ciel était déjà très haut, la Terre très épaisse, et la taille de Pangu atteignait quelque quarante cinq milles kilomètres !Grâce à la force prodigieuse de Pangu, le Ciel et la Terre avaient été créés, et les efforts qu’il avait consacrés à séparer le Ciel et la Terre éliminaient tout risque de les voir à nouveau se obscur et chaotique de l’univers n’était plus qu’un lointain souvenir. Hélas, épuisé par ses travaux de création, notre géant finit par mourir de espérait créer, après la séparation du Ciel et de la Terre, un monde rayonnant et magnifique, éclairé par le Soleil et la Lune, surmonté de montagnes, habité par des hommes et d’autres êtres vivants. Mais il s’éteignit sans pouvoir achever cette oeuvre il advint qu’à la mort du génie créateur, son corps se métamorphosa entièrement Son souffle se transforma en brise printanière donnant vie aux êtres vivants, en nuages et en brumes suspendus dans le ciel et sa voix se changea en tonnerre secouant le Ciel et la oeil gauche devint un Soleil flamboyant, son oeil droit, une Lune claire. Ses cheveux et sa barbe se changèrent en une multitude d’ quatre membres et son corps devinrent cinq hautes montagnes s’élevant jusque dans les nuages et s’étendant à l’Est, au Sud, à l’Ouest et au Nord de la sang se transforma en fleuves et en rivières impétueux, et ses veines en routes courant dans toutes les muscles devinrent des champs fertiles, ses dents, ses os et sa moelle se cristallisèrent en perles, en jade et en minéraux poils de sa peau se métamorphosèrent en prairies et en forêts tapissant toute la Terre, et sa sueur tomba en rosée et en pluie arrosant la monde splendide et merveilleux fut ainsi créé grâce à la force prodigieuse et à l’esprit d’abnégation du géant à l’humanité, on dit qu’elle serait née de l’âme du géant après sa mort. Ainsi pouvons-nous prétendre être chacun les descendants légitimes du géant Pangu, créateur du Ciel et de la Terre. Au plus grand plaisir de vous relire, AMITIES sincères,-Doïna amoureuse du Temps et de l'Espace qui m'hébergent grâcieusemant dans l'Univers luzdelsol Envoyé le 16/3/2015 1958 Mascotte d'OasisInscrit le 10/1/2011De sur ma planète "le soleil"Envois 24428 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEMerci pour ce très beau partage et ce retour aux sources originelles Luz -Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. Le DalaÏ LamaNul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran Isalabella Envoyé le 16/3/2015 2342 Plume de platineInscrit le 24/2/2015De Haut-de-FranceEnvois 3457 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEAlors...MERCI LA VIE!MERCI à toi Rolland pour ce sublime poème, tu nous tiens en haleine jusqu'au bout! j'ai adoré. Tous mes applaudissements Douce nuitAmitiés Isabelle poesiade Envoyé le 17/3/2015 806 Plume de platineInscrit le 17/7/2008De un patelin de paix et d'amourEnvois 7327 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE"Un simple souffle ! Un fragment de l’éternité !Nul ne connaît mes origines, pourtant je suisDans chaque corps, j’ai fécondé l’humanité,Prenez grand soin de moi, vous m'appelez la Vie. "Très bel écrit que ce cheminement de ce souffle que nous appelons la Vieamitié -Mon Roman " LES LAMES DU SILENCE" vient de paraître chez EDILIVRE ROLLANDPOEME Envoyé le 20/3/2015 837 Plume de platineInscrit le 24/1/2015De Envois 3257 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEMerci à vous tous pour vos messages amicaux et votre journéeRolland angiee Envoyé le 21/3/2015 2153 Plume de platineInscrit le 26/8/2008De AilleursEnvois 9862 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEBonsoir j aime beaucoup celui ci,il y a tout ,mais il parle humanité et de vie,et ça j adore merci - cyrael Envoyé le 19/10/2018 1437 Mascotte d'OasisInscrit le 30/10/2005De ****Envois 75139 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE nous ne sommes qu'un fragment........beau poème, qui exprime bien la fragilité..d'une existence face à l'immensitéau plaisir de vous lire, je vous souhaite une heureuse journée de vendredi-belle journée aux poètes keraban Envoyé le 19/10/2018 1532 Mascotte d'OasisInscrit le 15/11/2007De La Corrèze du sudEnvois 11099 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEJ'ai bien aimé cette poésie, la naissance de la vie et sa survie, et l'ai mise en parallèle avec le tableau du nu féminin de Gustave Courbet, "l'origine du monde".Bravo RolandAmitiéKeraban -J'aime la poésie qui me parle et qui chanteLire plusieurs de mes livres récits, roman, polar, essai, poèmes poetal Envoyé le 19/10/2018 1616 Plume de platineInscrit le 20/10/2015De Envois 7862 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE Shovnigorath Envoyé le 22/10/2018 1242 Plume de platineInscrit le 7/4/2012De ProvenceEnvois 3067 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE -“L'homme est un animal domestique, l'animal est un homme libre” Shovnigorath Josy Envoyé le 24/10/2018 1545 Plume d'argentInscrit le 16/11/2013De BelgiqueEnvois 314 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE ISABELLE59 Envoyé le 1/11/2020 944 Mascotte d'OasisInscrit le 14/12/2011De DUNKERQUEEnvois 17025 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE Sybilla Envoyé le 27/10/2021 1505 ModératriceInscrit le 27/5/2014De Envois 67789En ligne Re UN FRAGMENT D'ETERNITEBonjour Rolland,Un fragment de la vie, qui si elle n'est pas éternelle, au moins puisse t'elle offrir le meilleur !Magnifique poésie en ce souffle très bien esquissé en tes très beaux vers ! Belle journée !AmitiésSybilla-Le rêve est le poumon de ma vie. Citation de Sybilla Esperances Envoyé le 29/10/2021 109 Plume de platineInscrit le 7/12/2019De Envois 4254 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE Ancielo Envoyé le 29/10/2021 136 Mascotte d'OasisInscrit le 18/10/2021De Seine Maritime - DieppeEnvois 2866 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEUn magnifique poème. berrichonne Envoyé le 29/10/2021 747 Plume de diamantInscrit le 17/6/2008De Envois 13718 Re UN FRAGMENT D'ETERNITESuperbe, j'ai lu et relu !Bonjour Rolland, mes amicales -La vie est belle il faut savoir l'apprécier. Sphyria Envoyé le 29/10/2021 759 Plume de platineInscrit le 25/4/2021De FranceEnvois 9734 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEJ'ai beaucoup aimé ce voyage poétique dans l'infiniment grand et la naissance de la Vie !Ton poème nous transporte dans le monde des origines avec talent ! fil2fer Envoyé le 30/10/2021 711 Plume d'orInscrit le 3/11/2015De Envois 1046 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEUn bel hommage à la vie, si mystérieuse et si

poème des milliers d étoiles dans le ciel