LEJEU DE LA VÉRITÉ 2.0 – Théùtre Galabru. du 06/07/2022 au 11/07/2022, Ă  21:30. LeCDN de Nancy adapte Pirandello. Continuant Ă  poser la question de la vĂ©ritĂ© au théùtre, Julia Vidit met en scĂšne « C’est comme ça (si vous voulez) », la nouvelle crĂ©ation du Lethéùtre, art vivant. PubliĂ© le 14 septembre 2021. Par Claire Beilin-Bourgeois. Quand les lumiĂšres s’éteignent dans la salle, le rĂ©el s’efface et le spectacle commence. Pour retrouver cette Ă©motion en classe, ceux qui font le théùtre RĂ©servezvos places de festival pour : LE JEU DE LA VERITE - THEATRE ROBINSON MANDELIEU. Le prix des places est Ă  partir de : 29.20 €. Date : mardi 19 juillet 2022. Vous disposez par ailleurs du service e-ticket pour imprimer vos billets Ă  domicile dĂšs la fin de commande pour LE JEU DE LA VERITE. ï»żCasinoBarriĂšre Bordeaux. Rue du Cardinal Richaud. +33 5 56 69 49 00. C’est l’ñge de la maturitĂ© pour « Le jeu de la vĂ©ritĂ© » ! La piĂšce de Philippe Lellouche, qui fĂȘte ses 18 ans, est de retour Troisjeunes trentenaires, amis depuis le lycĂ©e, se rĂ©unissent comme chaque semaine pour dĂźner. Tom annonce Ă  Antoine et Eric qu’il a retrouvĂ© Margaux, la bombe du lycĂ©e dont ils Ă©taient fous . La comĂ©dienne de 24 ans reprend le rĂŽle de Vanessa Demouy dans une nouvelle version du "Jeu de la vĂ©ritĂ©", la piĂšce Ă©crite par Philippe Lellouche, qui se joue au Palais des glaces de Paris, jusqu'au 2 théùtre, vous en rĂȘviez ou c’est venu Ă  vous par hasard ?Emma Smet Je ne savais pas quand ça allait arriver, mais c’est quelque chose que je gardais dans un coin de ma tĂȘte. J’ai rencontrĂ© Sam Lellouche son partenaire dans la piĂšce, le films de Philippe Lellouche, ndlr, cet Ă©tĂ©, Ă  SĂšte. Il m’a parlĂ© de son projet de reprendre la piĂšce de son pĂšre. Par la suite, j’ai demandĂ© Ă  passer le casting Ă  Paris, et tout s’est fait de cette dĂ©jĂ  vu la piĂšce originale, créée il y a dix-huit ans ?Pas du tout. Et je n’ai pas regardĂ© le film de François Desagnat, sorti en 2014, prĂ©cisĂ©ment pour ne pas ĂȘtre influencĂ©e, mĂȘme inconsciemment, par le jeu de Vanessa Demouy. Je le verrai une fois les reprĂ©sentations comment dĂ©cririez-vous Margaux, votre personnage ?C’est une fille courageuse, solaire. Elle ose dire ce qu’elle pense Ă  ces trois mecs qui ont une vision des choses trĂšs diffĂ©rentes de la partagez l’affiche avec trois jeunes acteurs ClĂ©ment Moreau, Alexandre Bierry et Sam Lellouche...C’est formidable de leur donner la rĂ©plique. Quand nous sommes sur les planches, il y a une parfaite cohĂ©sion entre nous. En dehors, ils sont devenus de vrais amis. Au dĂ©but, nous avons rĂ©ellement jouĂ© au jeu de la vĂ©ritĂ©, ce qui nous a permis de mieux nous connaĂźtre. DĂ©sormais, on a ce rituel oĂč, avant chaque reprĂ©sentation, l’un d’entre nous pose une question Ă  un autre membre du groupe, qui est donc contraint de dire la maman, Estelle LefĂ©bure, a dĂ©jĂ  jouĂ© dans deux piĂšces mises en scĂšne par Philippe Lellouche L’Invitation et Les Grandes Ambitions. Vous a-t-elle prodiguĂ© quelques conseils ?Elle a partagĂ© quelques astuces, de respiration, par exemple, et m’a recommandĂ© de ne pas regarder le public. Ce qui est un trĂšs bon conseil! Rires Je crois qu’elle avait surtout envie que je fasse l’expĂ©rience seule et que je dĂ©couvre les choses par est-il de votre participation Ă  la sĂ©rie Demain nous appartient ?Comme je suis sur scĂšne Ă  Paris cinq soirs par semaine, actuellement, je n’ai pas le temps de tourner. Je retournerai Ă  SĂšte une fois la piĂšce terminĂ©e, pour une nouvelle intrigue...Interview Camille Sanson Avec cette piĂšce, Catherine Chabot complĂšte son triptyque amorcĂ© avec Table rase Prix du meilleur texte de l’AQCT 2016 et Dans le champ amoureux. Elle confirme ses qualitĂ©s d’autrice et, d’artiste accomplie, si, comme elle le dit elle-mĂȘme, un artiste se dĂ©finit par sa capacitĂ© Ă  exprimer une vision du monde. Sa vision est tranchante, criante de vĂ©ritĂ©, voire excessive, d’oĂč l’attribut d’hyperrĂ©alisme qui colle Ă  ses textes. ValĂ©rie Remise Le rĂ©alisme poussĂ© Ă  l’extrĂȘme, dans Lignes de fuite, n’est pas sans rappeler Harold Pinter, le premier Ă  avoir utilisĂ© ce procĂ©dĂ© donnant l’impression de dialogues sans queue ni tĂȘte, chaotiques au point oĂč on l’associa au mouvement du théùtre de l’absurde alors qu’il ne faisait que retranscrire ce qu’il avait lui-mĂȘme observĂ© lors de soirĂ©es entre amis. Chabot jette Ă  sa maniĂšre un regard aiguisĂ© sur la sociĂ©tĂ© actuelle qui donne Ă©galement cette impression d’éclatement des valeurs sur fond de retrouvailles entre six amies ayant eu au secondaire un rĂȘve commun. On ne parle pas ici d’un projet de rĂ©volution, mais simplement d’aller habiter ensemble. Or, ce rĂȘve ne s’est jamais rĂ©alisĂ©, malgrĂ© cela le groupe a continuĂ© Ă  se voir, mĂȘme si avec les annĂ©es leurs routes ont divergĂ©, leurs valeurs se sont situĂ©es Ă  diffĂ©rents niveaux sur l’échelle de la conscience sociale. La rencontre se dĂ©roule dans le condo ultra design magnifiquement rĂ©alisĂ© par l’Atelier ZĂ©bulon Perron de Zorah Lamia Benhacine et Olivia Victoria Diamond. Tous les Ă©lĂ©ments sont lĂ  pour alimenter les dĂ©bats les plus vifs et ça ne manque pas. Zorah travaille dans le domaine de la finance, elle aime l’argent et ça se voit. Olivia est une artiste anglophone qui parle un français approximatif, mĂȘme aprĂšs six years » au QuĂ©bec. Ses interventions politiquement correctes Ă  la sauce canadienne anglaise mijotĂ©e longtemps finissent par exaspĂ©rer les autres convives. Lorsque les deux s’embrassent en prĂ©sence de leurs amies, cela crĂ©e un certain malaise. ParticuliĂšrement chez JĂ©rĂŽme Maxime Mailloux, le gars de QuĂ©bec attachĂ© aux valeurs traditionnelles qui ne fait pas la diffĂ©rence entre Arabes et musulmans, ce qui dĂ©sespĂšre sa blonde Gabrielle Catherine Chabot. C’est sans aucun doute le couple le plus mal assorti de la soirĂ©e. Puis, il y a RaphaĂ«lle LĂ©ane LabrĂšche-Dor et Louis BenoĂźt Drouin-Germain. Elle Ă©volue dans le domaine des communications, et lui, il est chargĂ© de cours au cĂ©gep. ValĂ©rie Remise Chabot cite les philosophes français Deleuze et Guattari Mille plateaux pour expliquer le concept des lignes de fuite, mais elle aurait tout aussi bien s’appuyer sur la pensĂ©e de Gilles Lipovetsky L’Ère du vide essais sur l’individualisme contemporain qui a dĂ©veloppĂ© le concept d’hypermodernitĂ© oĂč les individus sont exposĂ©s Ă  tous les excĂšs, hyper libertĂ©, mais Ă©galement hyper angoisse le prĂ©sent est dĂ©sormais source d’anxiĂ©tĂ©, car le futur est incertain. Deleuze et Guattari ont identifiĂ© trois types de lignes dans nos vies. La ligne dure est celle rĂ©gie par la sociĂ©tĂ© qui nous amĂšne de l’école au travail, puis Ă  fonder une famille. La ligne souple est celle des interdits, sans remettre en question les lignes dures et compromettre l’ordre Ă©tabli ce sont les Ă©carts de conduite, les histoires cachĂ©es, les petites tromperies. Puis, il y a les lignes de fuite, qui reprĂ©sentent une vraie rupture, d’oĂč nous ne revenons jamais. C’est le contraire du destin ou de la carriĂšre. C’est notre ligne d’émancipation, de libĂ©ration. ImprĂ©visible et incontrĂŽlable, c’est cette ligne que beaucoup n’osent pas franchir, parce qu’elle nous projette dans l’inconnu et que l’inconnu, fait peur. AprĂšs avoir Ă©tĂ© confrontĂ©s dans leurs valeurs et leurs modes d’existence, les personnages de Lignes de fuite seront-ils prĂȘts Ă  faire face au changement et atteindre ce point de non-retour ? Le poids des mots ValĂ©rie Remise La grande qualitĂ© des textes de Catherine Chabot rĂ©side dans la crĂ©ation de personnages complexes et contradictoires. Ainsi, on peut aimer l’argent et avoir des pensĂ©es de gauche. Les dialogues cinglants sont tellement criants de vĂ©ritĂ© qu’ils dĂ©clenchent des rires et le plus souvent des rires jaunes parce que le cynisme de certaines rĂ©pliques fait mal, la cruautĂ© de certains amĂšne le personnage de Zorah Ă  dire Vos enfants vont chier par la bouche ! » Les dialogues plus que percutants de Chabot sont mis en scĂšne intelligemment par Sylvain BĂ©langer, qui insuffle toute la vĂ©ritĂ© nĂ©cessaire Ă  un texte de cette trempe appuyĂ© par une distribution juste et talentueuse. Il ne craint pas de faire chevaucher les rĂ©pliques accentuant l’effet de rĂ©el ou de chaos. Le rythme de la piĂšce est parfaitement rĂ©glĂ© ; il traduit l’atmosphĂšre survoltĂ©e de ces soirĂ©es typiquement urbaines oĂč chacun cherche Ă  monopoliser l’attention jusqu’à ce que l’excĂšs de paroles assassines finisse par faire son chemin et briser le lien tĂ©nu qui reliait encore ce groupe d’amis. On ne peut pas critiquer amĂšrement, juger sĂ©vĂšrement, accuser intentionnellement, sans que le venin fasse son Ɠuvre. ValĂ©rie Remise La scĂ©nographie toute en miroir, en plus de crĂ©er un espace glacial, oblige les personnages Ă  se regarder en face. Mais le font-ils vraiment ou ne font-ils que voir leur reflet, un aspect superficiel de leur personne ? Les miroirs permettent Ă©galement d’inclure le public dans cette piĂšce. Est-ce de nous qu’on parle ? Cherche-t-on Ă  nous renvoyer une image de nous-mĂȘmes ? Devrions-nous nous questionner sur nos comportements ? Lignes de fuite Texte et interprĂ©tation Catherine Chabot. Mise en scĂšne Sylvain BĂ©langer. InterprĂ©tation Lamia Benhacine, Victoria Diamond, BenoĂźt Drouin-Germain, LĂ©ane LabrĂšche-Dor, Maxime Mailloux. Assistance Ă  la mise en scĂšne et rĂ©gie Julien Veronneau. Design de l’espace Atelier ZĂ©bulon Perron. Éclairages AndrĂ© Rioux. Conception sonore Mykalle Bielinski. Accessoires et conseil aux costumes Robin Brazill. Maquillages et coiffures Sylvie Rolland-Provost. Conseil dramaturgique Olivier Barrette et Guillaume Corbeil. Une crĂ©ation du Centre du Théùtre d’Aujourd’hui et de Corrida. Au CTD’A jusqu’au 6 avril 2019. Le Mensuel est un magazine GRATUIT distribuĂ© Ă  840 000 exemplaires par an ‱ Pour savoir tout ce qui se passe sur scĂšne et au cinĂ©ma dans le sud-est ‱ Un magazine tout public qui propose une culture accessible Ă  tous et des tonnes d'idĂ©es sorties ‱ contact ‱ 04 94 85 71 39 Copyright ©2020 LE MENSUEL InfosDiffusionsCastingRĂ©sumĂ©C'est le retour de Fabrice, Pascal, Jules, et bien sĂ»r la belle Margaux, bombe de leur lycĂ©e qu'ils ont retrouvĂ©e. AprĂšs les grandes retrouvailles, une nouvelle Ă©tape est maintenant au programme. Deux heures avant un mariage, les amis se retrouvent et Ă©voquent les sujets sensibles des quadragĂ©naires de notre Ă©poque amour, divorce, enfants.... Les petites joies et tracasseries du quotidien sont passĂ©es en revue par la joyeuse bande d'amis interprĂ©tĂ©s par les excellents Philippe Lellouche, Jean-Marie Lamour, Christian Vadim et la lumineuse Vanessa DemouyGenreThéùtreAnnĂ©e de sortie2008AvecVanessa Demouy, Philippe Lellouche, Jean-Marie Lamour, Christian Vadim, David BrĂ©courtInfos supplĂ©mentaires—Avis des internautes 1Vous avez aimĂ© ce programme ? 13 Juil Le jeu de jambes de Monique Thibaudin Connue pour sa dĂ©clinaison Ă  l’infini de modĂšles de jambes, la discrĂšte artiste plasticienne Monique Thibaudin expose actuellement Ă  Vallauris, au MusĂ©e Magnelli, aux cĂŽtĂ©s du charismatique Ben, et en solo Ă  la Galerie ItinĂ©raire. Ses Ɠuvres hybrides et polymorphes font partie du paysage azurĂ©en depuis de nombreuses annĂ©es, interpellant, questionnant, interrogeant sur la nature de la mĂ©tamorphose et son changement. Comment ĂȘtes-vous tombĂ©e » dans le groupe artistique Supports/Surfaces ? Fille de peintre, j’étais fascinĂ©e par le travail de Nicolas de StaĂ«l. Puis, en visitant les beaux-arts de Luminy, je suis tombĂ©e sur l’atelier de Claude Viallat et JoĂ«l Kermarec. Ce fut un Ă©tonnement et une rĂ©vĂ©lation. C’était en 1985. J’ai quittĂ© de suite les Beaux-Arts de Lyon pour aborder le groupe Support/Surface. Pourquoi ĂȘtes-vous fascinĂ©e par les jambes ? Il y a rarement des tĂȘtes ou des troncs dans vos Ɠuvres. Comment ĂȘtes-vous devenue anti-buste » ? À l’époque, je faisais beaucoup de portraits d’aprĂšs des modĂšles vivants. Puis, je suis allĂ©e Ă  l’essentiel en simplifiant tout et en utilisant l’empreinte de la silhouette sur toile non tendue, puis de mon propre corps, avec des empreintes fragmentĂ©es ou en mouvements sur toiles. Quand je me suis installĂ©e Ă  Vallauris, je suis passĂ©e aux volumes empreintes dans la terre, plĂątre, paraffine, rĂ©sine, puis l’Anti-Buste est nĂ©, car pour moi L’Anti-Buste est le contraire du buste, le rĂ©el face Ă  l’irrĂ©el, le visible face Ă  l’invisible, la matiĂšre face Ă  l’esprit
 L’Anti-Buste est donc devenu ma marque personnelle, mon motif Ă  rĂ©pĂ©tition rĂ©alisĂ©, gĂ©nĂ©ralement, par sĂ©rie. Il est mis en situation et exprime un sentiment, un Ă©vĂ©nement, un fait de sociĂ©tĂ©, le reflet de ce qui mentoure. La matiĂšre et la couleur sont lĂ  pour appuyer mes propos. Quels matĂ©riaux et techniques utilisez-vous ? L’Ɠuvre FragilitĂ© humaine a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en lycra pendant la canicule et le tsunami et est prĂ©sentĂ©e Ă  la Galerie ItinĂ©raire. Les collants dĂ©chirĂ©s et de diffĂ©rentes couleurs de peau dĂ©noncent la dĂ©tresse des gens. La marche bleue, exposĂ©e au MusĂ©e Magnelli, est en cĂ©ramique avec du pigment bleu. Cette Ɠuvre m’a Ă©tĂ© inspirĂ©e des jardins de Majorelle Ă  Marrakech en voyant les touristes dĂ©ambuler le long des bassins. Vous exposez actuellement au MusĂ©e Magnelli dans l’espace de Ben. Pourquoi avoir choisi ses Ben-neries » pour accompagner vos hybridations ? À 20 ans, j’ai rencontrĂ© Ben Ă  Marseille invitĂ© par Claude Viallat. DĂšs lors une bonne complicitĂ© s’est installĂ©e entre nous et Annie, son Ă©pouse. J’ai toujours Ă©tĂ© fascinĂ©e par le personnage de Ben. Sa façon de travailler que tout m’oppose instinctif, rapide, qui ose tout. J’apprends aussi Ă  dĂ©velopper mon ego, tout comme mon ami Ben. Cet ego et cet opportunisme » que je trouve essentiels chez un artiste pour avancer
 J’ai 70 ans, coquetterie de femme. Quel est votre regard sur l’art du XXIe siĂšcle, vous qui ĂȘtes artiste depuis de nombreuses annĂ©es ? Les interrogations, craintes, passions des artistes d’aujourd’hui sont-elles toujours les mĂȘmes ? Au XXIe siĂšcle, le monde de l’art me plaĂźt. Tout est permis. Mais le nouveau est difficile de nos jours. Il existe dans le langage qui Ă©volue. La vĂ©ritĂ© se dĂ©place, les mentalitĂ©s changent ainsi que les moyens de communication. L’intĂ©rĂȘt passe Ă  mon goĂ»t trop par le sensationnel alimentĂ© par les mĂ©dias. Puis, trop, trop d’artistes pour le marchĂ© de l’art. Comment faire pour en Ă©liminer ? rires. Moi, je veux ĂȘtre lĂ , et ce n’est pas facile surtout pour une artiste femme. Je ne suis pas Picasso 25 juin au 19 septembre 2022, MusĂ©e Magnelli – MusĂ©e de la cĂ©ramique, VallaurisDemi-sculpture Galerie itinĂ©raire, VallaurisRens photo vue de l’exposition de Monique Thibaudin au MusĂ©e Magnelli – MusĂ©e de la cĂ©ramique, Vallauris © DR

le jeu de la vérité théùtre 2022