1pièce (s) 7500 m². DORDOGNE (24) - A CEDER EXPLOITATION VACHES LAITIERES. Idéal pour jeune agriculteur désireux de s'installer en vaches laitières. Investissement raisonné comprenant : - une stabulation de 50 logettes paillées en position centrale (+ 10 logettes suppléméntaires dans le bâtiment attenant), avec robot de traite LELY Plusde 200 mètres de chemins d’accès extérieurs en enrobé permettent au robot d’effectuer jusqu’à 22 passages par jour sur les tables d’alimentation, dont 12 pour les vaches laitières. « Grâce à des capteurs, le robot évalue la quantité d’aliments restant à l’auge et Lebâtiment et la salle de traite ont déjà plus de 30 ans. À la traite, 100 vaches laitières avec une moyenne de 39,2 kg au dernier contrôle. La salle de traite est une 2x6 Boumatic. On compte 70 places à l’auge et 92 logettes. À la sortie de la salle de traite, un pédiluve automatique pour un nettoyage des pattes matin et soir. Unbâtiment de 54 logettes a été construit en 2007 pour les vaches laitières. Un troupeau en forme. A la sortie de l’hiver, l’état de forme des vaches laitières est excellent comme en témoignent les rumens bien remplis, les pieds sains et l’état d’engraissement des animaux. Ceguide présente trente bâtiments existants d’élevages bovins, pour des troupeaux de 50 à 200 vaches allaitantes et laitières. Tous les types de bâtiments sont représentés : aires paillées ou logettes avec présence de caillebotis et/ou aires raclées, et les différents équipements de traite. Marie-France Malterre, a voulu mettre en évidence des techniques originales et Seemore of Vaches en piste on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of Vaches en piste on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account. Not now. Related Pages. GAEC elevage jacquet. Personal blog. GAEC les Chardonnerets. Dairy Farm. Gaec laffly. Interest. Auriva-elevage. Interest. Reblochon de Savoie AOP . Food & Beverage Company. . Fiches techniques de présentation de bâtiments d'élevage - bovin laitNous avons choisi ce bâtiment pour le confort et l’hygiène des animaux ainsi que la diminution des travaux d’ fiche est extraite d'un ensemble de fiches techniques de cas concrets de bâtiments d’élevage de ruminants bovins, ovins, caprins avec leurs points forts et aussi leurs bâtiments ont été jugés intéressants » ou innovants, en particulier dans les domaines suivants conditions de logement des animaux, conditions de travail des éleveurs, coûts d’investissements et / ou de fonctionnement, maîtrise des pollutions animales, insertion présentent la particularité de mentionner, dans chaque cas, l’avis de l’éleveur propriétaire du bâtiment ainsi que les observations techniques concertées des conseillers bâtiment de la le concours financier du Casdar et du Feader Le lycée agricole de Cibeins dispose depuis le milieu de l’année 2017 d’un nouveau bâtiment pour ses vaches laitières. L’outil a été conçu à la fois dans un souci de productivité et comme un véritable espace d’enseignement. Les travaux du nouveau bâtiment vaches laitières du lycée agricole de Cibeins ont démarré au printemps 2016, après plusieurs années de réflexion, et se sont déroulés sur une année complète. Le bâtiment existant était en très mauvais état. Les installations n'étaient plus aux normes, notamment pour la gestion des rejets, et ne répondaient plus aux exigences sanitaires, de sécurité ni d'organisation du travail. Nous avons jugé avec la Région1 que la construction d'un nouveau bâtiment était la meilleure solution », explique Pascal Couvez, le directeur de l'établissement d' à proximité des anciens bâtiments de l'exploitation agricole du lycée, le nouvel édifice a été inauguré début janvier. Ses concepteurs ont pris soin de le positionner à la perpendiculaire des structures historiques et d'en reprendre la philosophie. Ils ont tenu compte des codes architecturaux qui datent des années 1920, époque du célèbre architecte et urbaniste lyonnais, Tony Garnier. Que ce soit les hauteurs sous toit, l'inclinaison des pans ou la charpente, l'ensemble s'inscrit dans l'unité architecturale de la ferme modèle », défend le la structure et l'habillage, le choix s'est porté sur le bois, avec l'exigence qu'il soit issu des forêts de la région. Le matériau de la couverture est un agglomérat de plastique et bois ; les lames sont espacées, permettant ainsi à l'air de circuler naturellement par les toits. Le bâtiment n'a donc nécessité l'installation d'aucune ventilation mécanique. Lorsque nous avons rentré les vaches laitières l'été dernier, les températures étaient caniculaires. J'ai été agréablement surpris de sentir de la fraîcheur à l'intérieur du bâtiment », rapporte Pascal Couvez. Productivité et pédagogie En ce qui concerne la conception et l'aménagement intérieurs, l'une des priorités a été la productivité du travail. Si nous voulions continuer d'avoir des éleveurs demain, il nous fallait avoir un bâtiment qui soit le plus fonctionnel possible. Nous avons fait le choix de réunir sous un même toit les génisses et les vaches laitières et de les installer de part et d'autre d'un large couloir central, ce qui nous permet de leur distribuer la ration en un seul passage. » L'installation dispose de 72 places, en logettes, et peut gérer 80 à 85 vêlages par côté des vaches en production se trouve la salle de traite, en accès direct. Dans la partie attenante au bâtiment principal, sont installés le local du tank à lait et la nurserie. Le tank à lait a une capacité de 10 000 litres. La production est collectée tous les trois jours par la coopérative Eurial. Elle avoisine les 2 500 l de lait par jour, le volume annuel se situe entre 820 et 850 000 l. A la naissance, les veaux sont logés dans des niches, où ils restent entre deux et trois semaines, avant de rejoindre la nurserie où ils seront l'exploitation agricole du lycée de Cibeins affiche un vrai modèle économique, elle a bien entendu une vocation pédagogique. Le nouveau bâtiment vaches laitières a été pensé dans ce sens. Deux salles ont été créées pour l'enseignement l'une dédiée aux travaux pratiques, avec un accès facilité aux animaux ; l'autre pour la classe, les retours d'ateliers ou des travaux de synthèse. Les vaches sont équipées de colliers qui permettent de collecter et d'enregistrer de multiples données techniques sur la production laitière, la rumination, le cycle reproductif... Toutes ces informations sont traitées et exploitées dans le cadre pédagogique. Nous avons voulu faire de ce bâtiment un outil attractif qui suscite des vocations. Notre cheptel est productif, nous mobilisons des techniques modernes, comme le génotypage, la transplantation embryonnaire, etc. Nous tenons à inscrire notre troupeau dans une filière qui cherche des gains de productivité », conclut Pascal Couvez. Sébastien Duperay1 Depuis les premières lois de décentralisation, le conseil régional en charge de la construction, de l'entretien et du fonctionnement des lycées d'enseignement général, des lycées professionnels et des établissements d'enseignement agricole. Salle de traite plutôt que robot Lors de la conception du nouveau bâtiment, la construction d’une salle de traite a été privilégiée à l’installation d’un robot, pour trois raisons. La première la pédagogie. Le projet a été conçu et élaboré avec des élèves et des enseignants tous ont partagé le constat que les élèves devaient apprendre à traire. La deuxième la valorisation du pâturage. Le bâtiment est entouré de plus de 20 ha de prairies, d’accès facile pour les vaches. Il nous est apparu plus difficile de gérer un robot avec du pâturage, surtout avec le haut potentiel de notre troupeau », explique le directeur de Cibeins. La troisième, enfin l’organisation du travail. Un robot peut nécessiter de se lever la nuit lorsque l’alarme sonne ce type d’astreinte est plus difficile à gérer dans un cadre salle de traite est équipée en 2 x 8, les postes sont placés en épi classique, pour faciliter l’observation des vaches, avec sortie rapide. Le plus le fond de la fosse de traite peut se relever ou s’abaisser, permettant ainsi à chaque trayeur d’adapter la hauteur de son poste à sa taille. La traite dure 45 min ; elle est assurée deux fois par jour par un à deux élèves, à tour de rôle, et un salarié de l’exploitation. L’exploitation en chiffres • 140 ha de SAU• 60 vaches laitières, 60 génisses• 100 brebis• 70 ha de céréales• 1 directeur d’exploitation et 3 salariés1,7 M€ 3C’est le coût global du nouveau bâtiment vaches laitières du lycée agricole de Cibeins, dont 500 000 € pour la seule réfection des réseaux d’eau. Fiches techniques de présentation de bâtiments d'élevage - bovin laitCe nouveau bâtiment permet d’avoir plus de surface par vache. Celles-ci se sont bien habituées aux fiche est extraite d'un ensemble de fiches techniques de cas concrets de bâtiments d’élevage de ruminants bovins, ovins, caprins avec leurs points forts et aussi leurs bâtiments ont été jugés intéressants » ou innovants, en particulier dans les domaines suivants conditions de logement des animaux, conditions de travail des éleveurs, coûts d’investissements et / ou de fonctionnement, maîtrise des pollutions animales, insertion présentent la particularité de mentionner, dans chaque cas, l’avis de l’éleveur propriétaire du bâtiment ainsi que les observations techniques concertées des conseillers bâtiment de la région. Avec le concours financier du Casdar et du Feader Couloirs de circulation, passages de logettes et aire d’attente. Leur bonne conception et leur bon entretien contribuent à la bonne santé des vaches laitières et donc à l’expression de la production. Une tendance apparaît la combinaison de différents types de sols. Voici quelques recommandations. Bien choisir le sol de sa stabulation est essentiel d’autant que le temps passé dans le bâtiment pour les vaches laitières augmente dans certains élevages. Une vache qui se déplace bien est une vache qui se nourrit bien et qui produit du lait. Il n’existe pas de sol idéal. Un sol adapté pour le déplacement des vaches laitières doit répondre à cinq caractéristiques physiques la friction, pour le niveau d’usure des onglons ; l’abrasivité ou rugosité, pour le niveau d’usure des onglons ; la dureté, pour le niveau de stress mécanique que le pied doit supporter ; le profil de surface, pour limiter les blessures ; les propriétés thermiques, pour les postures de l’animal. Béton, béton rainuré, tapis standard, asphalte, béton désactivé, caillebotis ou caillebotis avec tapis il est difficile de trouver un sol qui réponde à l’ensemble de ces cinq caractéristiques voir tableau ci-dessous. Peu fréquent… Une solution - déjà développée à l’étranger et qui émerge seulement en France - est la combinaison de différents des sols pour compenser leurs différents effets. Peu de références existent, pour le moment, en France. Sur 645 élevages interrogés dans le cadre du projet Casdar SOLVL, qui a étudié pendant trois ans et demi de 2013 à 2017 les sols de stabulation des vaches laitières, seuls 11 % ont déclarés avoir des sols mixtes dans leur stabulation. Les choix de combinaisons sont très divers caillebotis et béton, béton et tapis plein, caillebotis rainurés et béton, tapis ajouré et tapis plein, béton et asphalte… Les éleveurs qui mixent les types de sol le font avant tout pour le confort des animaux. Mais combiner deux types de sols revient, logiquement, plus cher qu’un béton simple. La réussite de telle ou telle association de sols tient, entre autres, de l’organisation du bâtiment nombre de rangées de logettes, surface par vache laitière…, du matériel de raclage, de la présence ou non d’un robot de traite…, qui déterminent la bonne répartition des animaux dans le bâtiment. Parmi les points de vigilance, il faut veiller à ce que les aires de circulation ne favorisent pas le couchage des animaux sur celles-ci. Il faut donc des conditions de couchage favorables et notamment des logettes bien réglées. Bien entretenir ses sols Quel que soit le type de sol choisi, simple ou mixte, le bon entretien des sols est essentiel pour maîtriser l’humidité et l’état de propreté, deux paramètres qui jouent un rôle majeur sur la santé des pieds des animaux. Une tâche dont il convient de se préoccuper dès la conception du bâtiment. Il faut en effet soigneusement réfléchir l’organisation intérieure de la stabulation, en particulier le choix et l’emplacement des différents équipements abreuvoirs, racleurs, contention…. Il s’agit également de limiter les zones nécessitant un entretien manuel. Un préalable au bon nettoyage des sols est leur bonne réalisation, notamment pour éviter que l’eau stagne à certains endroits, également pour préserver le matériel de raclage. Dans les élevages équipés de sol plein, le raclage automatique des couloirs de circulation est aujourd’hui largement répandu. Il n’est pas sans défaut. L’étude SOLVL a mis en avant l’importance de la qualité de raclage. Dans les élevages équipés de sol plein, la qualité du raclage est meilleure en conduite fumier par rapport au lisier le raclage du fumier est plus efficace grâce à la paille qui fait joint entre le béton et le racleur. L’efficacité augmente quand le béton est recouvert d’un tapis, du fait qu’une pièce de contact en matière synthétique est quasiment systématique sur les racleurs. Les fabricants proposent aujourd’hui des solutions pour améliorer l’efficacité du raclage, notamment l’installation d’une pièce d’usure sur les racleurs. L’entretien des logettes apparaît comme le vrai point difficile dans les stabulations à sol plein. Le plus souvent manuel, il n’est guère possible de le faire plus de deux fois par jour. Les sols des passages sont donc souvent beaucoup moins propres que les sols des aires d’exercice. Plusieurs solutions s’offrent à l’éleveur pour améliorer l’entretien de ces passages, parmi lesquelles accentuer les pentes de sols pour évacuer l’humidité plus rapidement, repositionner les abreuvoirs dans les aires d’exercice ou automatiser l’entretien. L’investissement dans un robot permettant d’aspirer doit se justifier au regard de son efficacité de nettoyage, de sa fiabilité et de sa capacité à nettoyer de grandes surfaces. Il ne faut pas, par ailleurs, oublier que, quelle que soit la qualité du raclage quotidien, un nettoyage en profondeur est à envisager annuellement pour parfaire l’hygiène des sols. H. F. d’après l’Institut de l’Elevage Chambre régionale d'agriculture d'Occitanie Siège et site d'Auzeville 24, chemin de Borde RougeBP 22107 - Auzeville31321 CASTANET TOLOSAN cedexTél. +33 05 61 75 26 00Fax +33 05 61 73 16 66accueil Site de Lattes Mas de Saporta Maison des agriculteurs CS 30012 34875 LATTES cedex Tél. +33 04 67 20 88 63 Fax +33 04 67 20 88 73

plan bâtiment vache laitière avec robot logettes