Vidéode Télé Matin en replay et à la demande, publiée le 20/06/2018
Lacatastrophe du car de Millas - Retour sur un drame de la circulation routiÚre qui a coûté la vie à six enfants et fait 17 blessés sur un passage à niveau des Pyrénées-orientales. TV-PROGRAMME .COM
Que s'est-il vraiment passé?" consacrée à la catastrophe du car de Millas - Mercredi 12 décembre sur W9. Recherche. BibliothÚque. Se connecter. S'inscrire. Regarder en plein écran. il y a 4 ans "Que s'est-il vraiment passé?" consacrée à la catastrophe du car de Millas. Jeanmarcmorandini.com. Suivre . il y a 4 ans "Que s'est-il vraiment passé?" consacrée à la
Résuméde La catastrophe du car de Millas Jeudi 14 décembre 2017, 16h, au collÚge Christian-Bourquin de Millas dans les Pyrénées-Orientales, l'heure de la fin des cours a sonné. Devant l'établissement scolaire, un autocar attend les vingt-trois
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. A Millas, le bus scolaire a Ă©tĂ© coupĂ© en deux. â N. Bonzom / Maxele Presse Le 14 dĂ©cembre 2017, la collision entre un TER et un car scolaire a causĂ© la mort de six collĂ©giens, sur un passage Ă niveau, Ă Millas PyrĂ©nĂ©es-Orientales.PrĂšs de trois ans aprĂšs le drame, le trafic ferroviaire a repris lundi matin, entre Prades et Villefranche-de-Conflent. Il avait Ă©tĂ© interrompu depuis lâaccident. Ce fut une attente trĂšs, trĂšs longue qui ne sâest jamais produite en France », a confiĂ© Enric Balaguer, le prĂ©sident de Train en TĂȘt, lâassociation qui Ćuvrait pour le retour de la ligne. Jusquâici, les habitants et les touristes prenaient le bus, mais câĂ©tait deux fois plus TER en prov de Perpignan est arrivĂ© ce matin Ă Villefranche, aprĂšs prĂšs de 3 ans d'absence, sous les applaudissements nourris de l'Association Train en TĂȘt, de J-L Gibelin, vice-prĂ©sident rĂ©gional et du ComitĂ© d'usagers Train Jaune. Vive le train, vive le retour du train ! GUERRERO Monique GUERREROMonique November 16, 2020 Le dernier tronçon encore fermĂ©Il sâagit du dernier tronçon encore fermĂ©, depuis le drame du 14 dĂ©cembre 2017. Les autres avaient pu rouvrir petit Ă petit, notamment entre Perpignan et lâIlle-sur-TĂȘt, en mai dernier. Ce dernier tronçon ferroviaire nâavait pas pu ouvrir jusquâici aux trains car un glissement de terrain, lors de la tempĂȘte Gloria, au dĂ©but de lâannĂ©e, lâavait fortement endommagĂ©. Des travaux trĂšs complexes » avaient Ă©tĂ© engagĂ©s par la SNCF.
2347 16 aoĂ»t 2022ĂCHANGE ENTRE MACRON ET MODI Emmanuel Macron et le Premier ministre indien Narendra Modi sont convenus mardi de "travailler ensemble pour que le conflit prenne fin" en Ukraine, a indiquĂ© l'ElysĂ©e dans un communiquĂ©. Les deux dirigeants ont Ă©changĂ© par tĂ©lĂ©phone Ă propos de "la guerre menĂ©e par la Russie en Ukraine et ses consĂ©quences dĂ©stabilisatrices pour le reste du monde", selon la prĂ©sidence 16 aoĂ»t 2022ENERGOATOM CYBERATTAQUĂ L'opĂ©rateur public ukrainien des centrales nuclĂ©aires Energoatom a dĂ©noncĂ© mardi dans un communiquĂ© une cyberattaque russe "sans prĂ©cĂ©dent" contre son site, en prĂ©cisant que son fonctionnement n'avait pas Ă©tĂ© perturbĂ©. "Le 16 aoĂ»t 2022, la cyberattaque la plus puissante depuis le dĂ©but de l'invasion russe a eu lieu contre le site officiel d'Energoatom", a dĂ©clarĂ© l'opĂ©rateur sur Telegram. Le site "a Ă©tĂ© attaquĂ© depuis le territoire russe", a-t-il ajoutĂ©. 2019 16 aoĂ»t 2022TOURISME RUSSE EN FINLANDE Ce mardi 16 aoĂ»t, la Finlande a annoncĂ© qu'elle rĂ©duirait le nombre de visas touristiques en provenance de Russie. Le mĂ©contentement de la population finlandaise est Ă l'origine de cette 16 aoĂ»t 2022DIPLOMATIE Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l'ONU Antonio Guterres se rendra en Ukraine jeudi oĂč il participera notamment Ă une rencontre avec les prĂ©sidents ukrainien Volodymyr Zelensky et turc Recep Tayyip Erdogan, a annoncĂ© mardi son porte-parole. "A l'invitation du prĂ©sident Volodymyr Zelensky, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral sera Ă Lviv jeudi pour participer Ă une rencontre trilatĂ©rale avec le prĂ©sident turc Recep Tayyip Erdogan et le dirigeant ukrainien", a dĂ©clarĂ© StĂ©phane Dujarric lors d'un point presse, prĂ©cisant qu'Antonio Guterres se rendrait ensuite Ă Odessa vendredi, puis en 16 aoĂ»t 2022ZAPORIJIA AU CENTRE DES DISCUSSIONS Le prĂ©sident français Emmanuel Macron a appelĂ© mardi au retrait des forces russes de la centrale nuclĂ©aire de Zaporijia, dans le sud de l'Ukraine, en soulignant les "risques" que leur prĂ©sence fait peser sur la sĂ©curitĂ© du site. Lors d'un entretien tĂ©lĂ©phonique avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, il a soulignĂ© "sa prĂ©occupation quant Ă la menace que font peser la prĂ©sence, les actions des forces armĂ©es russes et le contexte de guerre avec les conflits en cours sur la sĂ»retĂ© et la sĂ©curitĂ© des installations nuclĂ©aires ukrainiennes, et a appelĂ© au retrait de ces forces", a indiquĂ© l' 16 aoĂ»t 2022PLUSIEURS SUJETS EVOQUĂS Volodymyr Zelensky s'est exprimĂ©, sur Twitter, Ă propos de son Ă©change avec Emmanuel Macron. Plusieurs sujets ont Ă©tĂ© Ă©voquĂ©s entre les deux hommes parmi lesquels la centrale nuclĂ©aire de Zaporijiia, la situation sur le front ou encore la sĂ©curitĂ© alimentaire. 1306 16 aoĂ»t 2022APPEL ENTRE MACRON ET ZELENSKY L'appel entre le PrĂ©sident de la RĂ©publique et le PrĂ©sident Zelensky est terminĂ© et a durĂ© 1h20. 1246 16 aoĂ»t 2022"UN SABOTAGE" EN CRIMEE L'explosion des munitions qui s'est produite mardi matin dans une base militaire russe en CrimĂ©e, pĂ©ninsule annexĂ©e par la Russie, Ă©tait due Ă un "acte de sabotage", a indiquĂ© l'armĂ©e russe dans un communiquĂ©. Le dĂ©pĂŽt militaire situĂ© prĂšs de DjankoĂŻ, dans le nord de la CrimĂ©e, "a Ă©tĂ© endommagĂ© le 16 aoĂ»t dans la matinĂ©e Ă la suite d'un acte de sabotage", affirme le communiquĂ©, citĂ© par les agences de presse russes, sans toutefois en dĂ©signer les 16 aoĂ»t 2022CĂRĂALES UKRAINIENNES Le premier navire humanitaire affrĂ©tĂ© par l'ONU a quittĂ© ce mardi 16 aoĂ»t le port de Pivdenny, dans le sud de l'Ukraine. Il est chargĂ© de prĂšs de tonnes de cĂ©rĂ©ales ukrainiennes. Le cargo a pour destination le port de Djibouti, en Afrique, afin de livrer l' 16 aoĂ»t 2022APPEL AVEC ZELENSKY Le prĂ©sident français Emmanuel Macron s'entretiendra par tĂ©lĂ©phone mardi en fin de matinĂ©e avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky de la situation Ă la centrale nuclĂ©aire de Zaporijjia, sous contrĂŽle russe dans le sud de l'Ukraine et cible rĂ©currente de frappes. Les deux dirigeants s'entretiendront "notamment pour aborder la situation autour de la centrale de Zaporijjia", a annoncĂ© la prĂ©sidence française. La centrale, la plus grande d'Europe, a Ă©tĂ© prise dĂ©but mars par les troupes russes, au dĂ©but de leur invasion de l'Ukraine lancĂ©e le 24 fĂ©vrier. Depuis fin juillet, plusieurs frappes, dont les deux parties s'accusent mutuellement, ont visĂ© le site, faisant craindre une catastrophe nuclĂ©aire et provoquant la semaine derniĂšre une rĂ©union du Conseil de sĂ©curitĂ© de l' 16 aoĂ»t 2022POUTINE ACCUSE WASHINGTON Le prĂ©sident russe Vladimir Poutine a accusĂ© mardi les Etats-Unis de faire traĂźner le conflit ukrainien et chercher Ă "dĂ©stabiliser" le monde avec une rĂ©cente visite Ă TaĂŻwan de la prĂ©sidente de la Chambre amĂ©ricaine des reprĂ©sentants Nancy Pelosi. "La situation en Ukraine montre que les Etats-Unis cherchent Ă faire traĂźner ce conflit. Et ils agissent de la mĂȘme maniĂšre en instiguant le potentiel conflictuel en Asie", a dĂ©clarĂ© M. Poutine dans une adresse Ă la ConfĂ©rence internationale sur la sĂ©curitĂ© Ă Moscou, en disant voir dans le voyage de Mme Pelosi Ă TaĂŻwan "une stratĂ©gie consciente visant Ă dĂ©stabiliser la situation dans le monde".0937 16 aoĂ»t 2022LE POINT SUR LA SITUATION Les bombardements autour de la centrale de Zaporijia, le plus grand site nuclĂ©aire d'Europe, inquiĂštent la communautĂ© internationale. Pour tenter d'apaiser les choses, la question de la suretĂ© nuclĂ©aire a Ă©tĂ© discutĂ©e entre SergueĂŻ ChoĂŻgou et Antonio Guterres, le prĂ©sident de l'ONU lors d'un appel hier en fin de soirĂ©e. Pour en savoir plus, retrouvez l'ensemble des Ă©vĂ©nements survenus au 174e jour du conflit dans cet article. đ0931 16 aoĂ»t 2022EXPLOSIONS EN CRIMĂE DEUX BLESSĂS Un incendie provoquant une dĂ©tonation de munitions est survenu, ce mardi 16 aoĂ»t, dans une base militaire russe en CrimĂ©e. Ă l'heure actuelle, deux civils ont Ă©tĂ© blessĂ©s. Le village voisin est en cours d' 16 aoĂ»t 2022WAGNER L'Ukraine a affirmĂ© lundi avoir visĂ© dans l'Est une base du groupe paramilitaire Wagner, dont les hommes sont accusĂ©s de combattre aux cĂŽtĂ©s des troupes russes, et avoir dĂ©truit un pont prĂšs de la ville occupĂ©e de Melitopol sud. Selon le gouverneur de la rĂ©gion de Lougansk, dans l'est de l'Ukraine, la base de la sociĂ©tĂ© militaire privĂ©e, dans la ville de Propasna, a Ă©tĂ© "dĂ©truite par une frappe de prĂ©cision". Le tir a eu lieu dimanche, a prĂ©cisĂ© SerguiĂŻ GaĂŻdaĂŻ sur Telegram. TrĂšs opaque, le groupe Wagner est rĂ©putĂ© comme Ă©tant liĂ© Ă l'oligarque russe EvguĂ©ni Prigojine, lui-mĂȘme considĂ©rĂ© comme un proche du prĂ©sident russe Vladimir Poutine. La prĂ©sence de ses combattants a Ă©tĂ© attestĂ©e ces derniĂšres annĂ©es en Syrie, en Libye, au Mali et dans d'autres pays d' 16 aoĂ»t 2022EXPLOSION EN CRIMĂE Un incendie ayant provoquĂ© une explosion des munitions s'est produit mardi matin dans une base militaire russe en CrimĂ©e, pĂ©ninsule annexĂ©e par la Russie, a annoncĂ© le ministĂšre russe de la DĂ©fense. Le feu s'est dĂ©clarĂ© vers 5h15 heure de Paris dans un dĂ©pĂŽt de munitions temporaire d'une base russe dans le district de DjankoĂŻ nord, a prĂ©cisĂ© le ministĂšre dans un communiquĂ©, citĂ© par les agences de presse russes. Selon le gouverneur de la CrimĂ©e, SergueĂŻ Aksionov, deux civils ont Ă©tĂ© 16 aoĂ»t 2022PEUR NUCLĂAIRE Une "catastrophe" Ă la centrale nuclĂ©aire de Zaporojjia, sous contrĂŽle russe dans le sud de l'Ukraine, menacerait l'Europe toute entiĂšre, a averti lundi le prĂ©sident ukrainien Volodymyr Zelensky. "Ă l'abri de la station, les occupants bombardent les villes et communautĂ©s des environs", a accusĂ© M. Zelensky dans son adresse de lundi soir. "Tout incident radioactif Ă la centrale nuclĂ©aire de Zaporojjia peut porter un coup aux pays de l'Union europĂ©enne, Ă la Turquie, Ă la GĂ©orgie, et Ă des pays de rĂ©gions plus Ă©loignĂ©es. Tout dĂ©pend de la direction et de la force du vent", a poursuivi le prĂ©sident ukrainien. "Si les actions de la Russie conduisent Ă une catastrophe, les consĂ©quences pourraient frapper ceux qui restent silencieux pour l'instant", a-t-il averti. Il a appelĂ© la communautĂ© internationale Ă adopter "de nouvelles sanctions dures contre la Russie" et Ă ne pas "cĂ©der au chantage nuclĂ©aire". "Toutes les forces russes doivent se retirer immĂ©diatement de la station et des zones environnantes sans aucune condition", a-t-il dit. La centrale nuclĂ©aire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, avait Ă©tĂ© prise dĂ©but mars par les troupes russes, au dĂ©but de leur invasion de l'Ukraine lancĂ©e le 24 fĂ©vrier. 0623 16 aoĂ»t 2022Bonjour Ă tous.
Vendredi soir, le village de Saint-FĂ©liu-d'Avall se recueillait, sous le choc aprĂšs l'accident entre un car et un train qui a fait 5 morts parmi les enfants du pleure ses enfants. Cinq d'entre eux sont dĂ©cĂ©dĂ©s dans l'accident entre un car de ramassage scolaire et un train jeudi soir. Vendredi soir, l'Ă©glise Saint-AndrĂ© de la commune Ă©tait comble, plusieurs centaines d'habitants Ă©tant venus assister Ă une messe cĂ©lĂ©brĂ©e Ă la mĂ©moire des dans le village, toute la population est encore sous le choc. Rachel tient la boulangerie du centre-ville, elle a hĂ©sitĂ© Ă fermer son commerce en signe de deuil "Au dĂ©part mon intention, c'Ă©tait de fermer mais en fait quand je me suis rendue compte que les gens venaient ici pour discuter, on ne pouvait pas fermer. Ils ont besoin d'en parler avec d'autres gens. Donc je suis restĂ©e ouverte. Mais on a enlevĂ© les dĂ©corations de NoĂ«l et on a annulĂ© toutes les festivitĂ©s. Tout Saint-FĂ©liu est en deuil, c'est une façon de montrer qu'on est avec les parents de ces enfants".En solidaritĂ© avec les victimes, des dizaines de personnes ont par ailleurs fait la queue pour donner leur sang, souvent pour la premiĂšre fois, lors d'une collecte Ă la salle polyvalente, prĂ©vue de longue date mais qui a pris une toute autre signification aprĂšs le drame."C'est notre devoir"Pour Nina, qui donne son sang rĂ©guliĂšrement, c'Ă©tait une Ă©vidence "Je suis trĂšs touchĂ©e parce que les enfants de mes voisins sont dans le coma. Pour ces enfants du sang a Ă©tĂ© donnĂ© mais je pense aux Ă©ventuels accidents qui pourraient arriver".Armand, lui, n'est pas un habituĂ© du don du sang, mais s'est dĂ©cidĂ© Ă le faire, par solidaritĂ© "Mon petit frĂšre est au collĂšge de Millas, certains de ses amis sont dĂ©cĂ©dĂ©s, c'est notre devoir".A la mairie, oĂč les drapeaux Ă©taient en berne et oĂč les habitants avaient apportĂ© des fleurs, une cellule psychologique a Ă©tĂ© mise en car scolaire transportait 23 collĂ©giens venant du village de Saint-FĂ©liu-d'Avall, dont 14 ont Ă©tĂ© blessĂ©s, outre la conductrice, Ă©galement blessĂ©e griĂšvement. Aucun blessĂ© n'est Ă dĂ©plorer dans le train. Cette catastrophe est une des plus meurtriĂšres impliquant le transport d'enfants depuis 1982.
Jeudi 14 décembre 2017, 16h, au collÚge Christian-Bourquin de Millas dans les Pyrénées-Orientales, l'heure de la fin des cours a sonné. Devant l'établissement scolaire, un autocar attend les 23 collégiens habitant les communes voisines. Plus que quelques minutes de trajet, et chacun rentrera chez soi. Mais en cet aprÚs-midi d'hiver l'autocar n'arrivera jamais à destination. Que s'est-il vraiment passé ? Un an aprÚs la catastrophe, W9 tente de lever une partie du voileMis à jour le 19 novembre 2021, publié le 11 décembre 2018
Cette quadragĂ©naire, mĂšre de famille, a Ă©tĂ© "placĂ©e sous contrĂŽle judiciaire avec notamment l'interdiction de conduire", a prĂ©cisĂ© le procureur de la RĂ©publique de Marseille, Xavier a Ă©tĂ© entendue au Palais de justice de Perpignan par deux magistrats instructeurs du pĂŽle accidents collectifs de Marseille, compĂ©tent pour ce type de lors de l'accident, la conductrice a maintenu ses affirmations selon lesquelles les barriĂšres du passage Ă niveau Ă©taient levĂ©es, a prĂ©cisĂ© son avocat Me Jean CodognĂšs, aprĂšs sa mise en les "constatations matĂ©rielles" vont "plutĂŽt dans le sens d'une barriĂšre fermĂ©e", avait indiquĂ© mardi le procureur de Marseille. Le conducteur du TER assure, lui aussi, que les barriĂšres Ă©taient 16H03, le 14 dĂ©cembre, le car de ramassage scolaire, avec Ă son bord 23 collĂ©giens, avait Ă©tĂ© percutĂ© Ă un passage Ă niveau Ă Millas par un TER qui roulait Ă 75 km/h, pour une vitesse autorisĂ©e de 100 km/h. A LIRE de Millas la conductrice du car interrogĂ©eUne rĂ©gion plongĂ©e dans la douleur aprĂšs l'accident entre un car et un trainCollision de Millas messe et recueillement dans un village figĂ© dans la douleurFoyers sans Ă©lectricitĂ©, vents Ă 148 km/h la tempĂȘte Leiv passe sur le Sud-OuestAccident de train Ă Barcelone 39 blessĂ©s dont un grave
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